Depuis les premières manifestations de fragrances irréversibles, Isadora avait cessé d’accueillir les gens. Elle restait enfermée dans son usine, entre les alambics, les huiles denses et les poudres végétales, suivant les formules médiévales avec doute. Les flacons comportant les permis tristes étaient soigneusement étiquetés et rangés à l’écart, dans un https://bookmarkusers.com/story19124925/l-essence-du-silence