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La saturation indiscernable

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Rueil, 2150. Trente occasions de pétard continue. Non pas une tempête, ni une averse violente, mais une turpitude lente, persistante, régulière. Les gouttes s’écoulaient sans irritation, mais sans relâche, couvrant les vitres d’un voilage obstiné, noyant les rues par-dessous une clarté grise. Les égouts débordaient, les transitaires disparaissaient, et les https://cristianhpiao.ttblogs.com/13890570/la-fusée-invariablement

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