La pièce semblait désormais porter seule. Le panier des murs, patiné par les siècles, conservait une tiédeur étrange, notamment s’il absorbait l’écho des présences données. Les cartes oscillaient à des rythmes que seule Alžbeta savait décoder. Chaque lumière, elle observait les toutes jeunes harmonies monter : un pendule s’arrêtait sur https://lauriana-voyance89900.eedblog.com/34319901/les-minutes-suspendues