À Orléans, en l’an 2222, la ville ne vibrait plus que sous le chant grave des machines. L’air lui-même semblait scellé dans un éternel vacarme métallisé, rompu simplement par le chuintement des véhicules autonomes et les murmures codifiés des interfaces holographiques. Dans ce décor ultramoderne, un endroit jurait avec l'élégance https://milothrye.jiliblog.com/90936806/les-circuits-de-la-peur