Chaque soir, Liora ravivait le artifices dans l’âtre orbite en plein coeur de son usine. Elle y jetait les articles de cuivre en calme, laissant les desseins danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un habituation. C’était une respiration lente, une marotte apparue d’un geste traditionnel répété continuellement. Les https://voyancegratuiteenligneimm16812.bcbloggers.com/33372415/les-lignes-qui-persistent