Le soleil s’écrasait sur les perles brûlantes du désert mexicain. Le vent soulevait des nuages de poussière qui s’écrasaient tangent de la carcasse rouillée d’une ancienne cabine téléphonique. Posée seule au fin d’une promenade oubliée, elle ne figurait sur aucune carte officielle. Pourtant, chaque dimanche à midi, une sirène brisait https://rowanremty.bloggazzo.com/32985285/la-cabine-du-septième-ouverture