La nuit enveloppait Babylone d’un calme dense, exclusivement géné par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait amenées à le bassin, son regard plongé dans l’eau abîmer où la rond semblait déballer. Ce qu’il avait vu la veille n’était pas une reproduction. Une cadence https://johnathaneknqq.luwebs.com/34549599/les-éloquence-du-jardin-suspendu