Clémence resta invariable un long moment, absorbée par les motifs taillés dans le fond de la tasse. Chaque ligne semblait pervibrer, bavarde d’une envie subtile qui lui échappait encore. Elle savait que ce qu’elle voyait n’était pas une commode cumul de résidus laissés par le café. Il s’agissait d’un langage, https://johnnypttro.techionblog.com/33043166/voyance-sans-cb-de-lauriana